Une 3e édition dans le rétro

L’internationale Gaëtane Thiney (photo) aux 136 sélections, pour 55 buts marqués, était ce mercredi à Gerstheim pour la 3e édition de la finale du Challenge, qu’elle marraine depuis 2015. Une finale placée sous le signe du cinquantenaire des débuts du football féminin alsacien à Gerstheim et avec l’enseigne Décathlon comme partenaire.

Comme en 2015 à Erstein, comme l’an passé à Bennwihr, Gaëtane Thiney a joué le jeu, répondant volontiers aux nombreuses sollicitations. Autographes, selfies, photos, interviews, l’internationale s’est montrée disponible tout en passant beaucoup de temps à observer les tests techniques puis les matchs qui opposaient les cinq sélections territoriales retenues au terme des finales départementales. « Je trouve que le niveau technique augmente d’année en année », s’est réjouie Gaëtane Thiney, « je viens toujours avec autant de plaisir ».La joueuse de Juvisy a aussi évoqué le prochain Euro aux Pays-Bas où elle espère un bel engouement autour d’une équipe de France toujours à la recherche d’un premier titre majeur qui semble, une fois encore, à la portée de l’équipe coachée par l’ancien Strasbourgeois Olivier Echouafni.

Mais cette édition 2017 aura surtout été marquée par la présence  de véritables pionnières du football féminin alsacien. C’est d’ailleurs à Gerstheim que la toute première féminine a vu le jour dans la région. C’était en août 1967, à l’occasion du 40 e anniversaire du club. Monique, Lucie, Eliane et quelques autres étaient présentes ce mercredi avec leurs entraîneurs de l’époque, avec Laurence Muller-Bronn, Maire de Gerstheim et conseillère départementale. « J’ai beaucoup de respect pour ces femmes qui ont débute l’aventure dans des conditions qui n’étaient pas simples et qui nous ont permis de disposer aujourd’hui de telles conditions », a indiqué Gaëtane Thiney, s’adressant au passage aux jeunes poussines qui assureront la relève. A l’année prochaine.

Le football à l’ère du numérique

Après le déploiement de la feuille de match informatisée, le football poursuit sa transition vers le digital avec la mise en place à partir de juin de la dématérialisation des licences. Une nouveauté qui en accompagnera une autre, optionnelle celle-ci,  la dématérialisation de la demande de licence.

Devenue une composante essentielle de notre quotidien, le digital se développe en permanence. Une ère du tout numérique à laquelle le football s’adapte progressivement. Nouvelle étape dans le processus de modernisation de ses outils, la dématérialisation de la demande de licence sera désormais possible à partir du 13 juin, date d’ouverture de la période de saisie des licences pour la nouvelle saison. « Les bordereaux de licences seront encore distribués courant mai lors des réunions de territoire, rassure Yannick Kopf, salarié du service informatique de la LGEF. Nous sommes dans une saison de transition, les clubs pourront cette année faire leurs demandes soit par la voie papier soit par la voie dématérialisée. » Plus simple et surtout moins fastidieuse, cette dématérialisation sera effective, dans un premier temps, pour les renouvellements et les nouvelles licences, les changements de clubs restant sous le coup d’une procédure papier. Autre précision, les demandes de licence informatisées ne concerneront cette année que les joueurs et dirigeants, les demandes de licences arbitres, techniques se faisant encore via le papier.

Comment ça marche ?
Réalisable uniquement via Footclubs, la demande de licence version numérique allègera le travail des correspondants des clubs. « Pour les renouvellements, le correspondant Footclubs enverra directement à ses licenciés par mail un lien. Concernant les nouvelles licences, le processus sera le même excepté que le correspondant du club devra au préalable pré-saisir certaines informations pour créer le compte du futur licencié. » Le lien envoyé, le licencié sera chargé de fournir informatiquement tous les éléments nécessaires à l’obtention de sa licence, parmi lesquels le certificat médical désormais valable trois ans (voir encadré). Auparavant chargé de collecter et scanner toutes les pièces, le club n’exercera plus qu’un travail de contrôle avant de soumettre la demande de licence auprès de la Ligue pour validation. « Une fois que la licence sera validée par la Ligue, le licencié recevra par mail une attestation de licence, » précise Yannick Kopf. Dernier avantage pour le club, ce dernier aura la possibilité, via la demande dématérialisée, de collecter auprès de chaque licencié des informations personnelles pouvant être très intéressante pour la gestion de ses effectifs.

Licence dématérialisée
Engagée dans une transition numérique, la FFF a également entériné lors de son AG du 17 mars dernier, la dématérialisation de la licence. Exit le papier, à partir de la saison prochaine, plus aucune licence ne sera imprimée, leur consultation se faisant uniquement via la feuille de match informatisée ou par Footclubs Compagnons. « En cas de problème informatique, il sera toujours envisageable pour le club d’avoir recours à l’impression d’un listing des joueurs avec leur numéro de licence pour une saisie manuelle sur une feuille de match papier, » termine Yannick Kopf.  La révolution numérique est en marche…

Certificat médical valable trois ans
Nécessaire à l’obtention de la licence, le certificat médical n’est désormais exigé qu’une fois tous les trois ans au lieu de devoir être renouvelé chaque saison. Durant cette période, le joueur renouvelant sa licence devra néanmoins remplir un questionnaire de santé attestant que toutes ses réponses sont négatives. En cas de réponse(s) positive(s), un nouveau certificat médical sera obligatoire.

Une belle réussite !

Organisée pour la première fois de son histoire en Alsace, la coupe de France cécifoot des aveugles de France s’est déroulée hier et aujourd’hui sur les installations du SC Schiltigheim (photo). Gagnée par les Girondins de Bordeaux (B1) et l’AC Boulogne-Billancourt (B2/B3), cette 17e édition alsacienne a remporté un franc succès. Retour.

Des sourires, des accolades, des éclats de rire, des larmes, du partage, la cérémonie de clôture de la 17e édition de la coupe de France cécifoot des aveugles de France, première du nom organisée en Alsace, aura été ce midi à l’image de ces deux jours de compétition, riche en émotions. Deux jours pleins sur les installations du Sporting Club de Schiltigheim où les dix équipes B1 (non-voyants) et les six équipes B2/B3 (malvoyants) ont offert au public présent au stade de l’Aar un concentré d’un football pas tout à fait comme les autres, un football pour déficients visuels.

Favoris annoncés dans leur catégorie, les Girondins de Bordeaux (B1) et les Franciliens de l’AC Boulogne-Billancourt ont tenu leur rang, s’adjugeant la couronne nationale respectivement en finale face aux Belges d’Anderlecht (2-1) et aux Rhodaniens de Villeurbanne (7-0). « C’est une très bonne chose de voir le cécifoot se développer en Alsace. L’organisation était parfaite et à titre personnel c’était un réel plaisir de pouvoir jouer en ici, » lançait après la victoire de sa formation de l’ACBB Jean Gury, kinésithérapeute domicilié à Altkirch et joueur chez les valides au sein de l’AS Mertzen (PH).

Investi depuis une dizaine d’années dans la promotion et la valorisation de la pratique, Frédéric Villeroux, le capitaine des Girondins de Bordeaux et véritable porte-drapeaux du cécifoot en France allait dans le même sens. « Le cécifoot est une famille, c’est toujours un plaisir de se retrouver. Je félicite les organisateurs pour ces deux jours de compétition qui ont permis de faire connaître la discipline au grand public, » notait ce midi le médaillé d’argent des jeux paralympiques de Londres en 2012.

Deux ans après l’organisation d’une rencontre internationale entre la France et l’Allemagne dans ce même stade de l’Aar et la constitution d’une section cécifoot au Sporting Club de Schiltigheim dans la foulée, la coupe de France disputée en ce week-end Pascal marque un nouveau temps fort dans le déploiement de cette pratique en Alsace. Une pratique où le jeu prend le pas sur l’enjeu, le partage et convivialité étant au centre de toutes les priorités…

L’engagement par les actes

Avec l’expérience des anciens et le dynamisme des jeunes, le bénévolat ne cesse de grandir. Essentiel à la vitalité, la structuration et la pérennisation des clubs, il est la pierre angulaire du football amateur. Le point avec Jean-Marie Schmitt, nouvel administrateur en charge du bénévolat au sein du District d’Alsace de Football.

Elu au comité directeur du nouveau District d’Alsace en décembre dernier en qualité d’administrateur en charge du bénévolat, Jean-Marie Schmitt s’est fixé un double objectif, aider les clubs à fidéliser leurs bénévoles et réussir à en convaincre de nouveaux de les rejoindre. Souvent réalisé en interne ou par le bouche à oreille, l’engagement de nouveaux volontaires est soumis à une bonne connaissance de la structure associative. « Il est primordial pour l’individu de connaître le projet du club, qu’il y ait des objectifs pour avoir envie d’adhérer à la communauté et apporter ses compétences. Nouveau membre de l’association, le bénévole doit se sentir reconnu, valorisé, avec des missions définies. Dans cette logique, peu importe si le temps manque pour conclure les objectifs, puisque la souplesse reste le maître mot du bénévolat. « Le bénévolat est gratuit, mais c’est une richesse pour l’homme. Aussi, chaque bénévole a son importance quel que soit sa fonction, si petite soit-elle, c’est un maillon de la chaine, » rappelle l’administrateur du District d’Alsace.

La valorisation du bénévolat
Consciente de l’importance des bénévoles dans la gestion quotidienne du football français, la Fédération Française de Football, par l’intermédiaire de sa Ligue de Football Amateur (LFA), valorise depuis plusieurs années ces travailleurs de l’ombre avec deux opérations annuelles. La première, créée en 1997, permet de remercier, d’encourager et de valoriser les bénévoles des clubs de football français en les invitant à la Journée Nationale des Bénévoles articulée autour de la finale de la coupe de France. Depuis le 1er janvier 2014, une autre action, baptisée « Bénévole du mois », est chapotée par la LFA. Montée il y a trois saisons dans un contexte de crise du bénévolat, elle met en lumière de centaines de bénévoles dans le but de créer un projet fédérateur. Localement, le District d’Alsace de Football, par l’intermédiaire du Challenge du Bénévolat – Blanc du Nil, s’associe aussi à cette démarche de valorisation. Décerné mensuellement, il récompense un club, et un de ses fidèles adhérents, en dotation diverses. « Les critères d’attribution du challenge sont essentiellement orientés autour de l’investissement des bénévoles et des valeurs éducatives qu’ils s’attachent à diffuser comme la participation au projet éducatif fédéral, la création d’école de football labellisées, le fair-play, » explique Jean-Marie Schmitt.

Réussir à d’adapter  
Investissement totalement désintéressé, le bénévolat se porte globalement bien en Alsace même si un problème générationnel se pose ici ou là, les adaptations aux évolutions sociétales impliquant des ajustements. « La nouvelle génération arrive souvent avec une autre conception des choses et utilise d’autres techniques, c’est normal et ce n’est pas plus mal, les anciennes doivent s’adapter, » raconte l’élu haut-rhinois. Conscient des enjeux du bénévolat de demain, Jean-Marie Schmitt s’attache à guider les différents animateurs des territoires dans le recrutement de bénévoles aux profils en adéquation avec les missions à remplir, afin de réussir à allier la sagesse des anciens et l’enthousiasme des jeunes dans un esprit constructif.  « Le bénévolat a encore de belles années devant lui, notamment avec la transition vers l’ère du numérique. Les anciens vont se former, et les jeunes vont prendre la relève, je suis optimiste pour la suite. Il sera toujours important de travailler en transparence pour développer au mieux l’entraide entre tous. »

Article publié le 12 avril 2017 à 14:38

Par Florent Bibiloni 

Coupe de France à Schiltigheim

Organisée par le Sporting Schiltigheim, la coupe de France Cécifoot 2017 des Aveugles de France se déroulera le 15 et 16 avril prochain au Stade de l’Aar. A cette occasion avait lieu cet après-midi à Strasbourg le tirage au sort effectué en présence de Jérémy Grimm (photo). Retour.

Depuis la venue de l’équipe de France en avril 2015 à Schiltigheim pour rencontrer l’Allemagne, le cécifoot prend peu à peu ses marques en Alsace. Née autour de cet événement international, la section cécifoot du Sporting Schiltigheim dirigée par Remi Garranger et Julien Chaussec a officiellement vu le jour en octobre 2015. Un an et demi plus tard, les deux entraîneurs schilikois organiseront le 15 et 16 avril prochain la coupe de France Cécifoot 2017 au stade de l’Aar, compétition à laquelle participeront leurs deux équipes, composée pour l’une de joueur non-voyants (B1), pour l’autre de footballeurs malvoyants (B2/B3). « Nous souhaitions sensibiliser les gens au cécifoot, que la pratique se développe en Alsace et faire connaître ce sport au plus grand nombre, » confiait cet après-midi Rémi Garranger. Point de départ de leur désir d’accueillir la compétition nationale, le pari est, à voir le monde présent cet après-midi dans la structure privée de foot indoor où avait lieu le tirage au sort, en passe d’être relevé. Précédé par une démonstration et une initiation au cécifoot à laquelle s’est prêté avec brio Jérémy Grimm, le tirage au sort de la coupe de France a réservé aux Schilikois du lourd. Dans la catégorie B2/B3, les Alsaciens se retrouvent dans le groupe du Standard de Liège (les équipes belges participent aux compétitions françaises) et du vainqueur de la précédente édition, l’AC Boulogne-Billancourt. « C’est la première fois que nous participons à la coupe de France en B2/B3, nous découvrons la compétition, l’objectif sera d’emmagasiner de l’expérience et de se faire plaisir, » expliquait cet après-midi Simon Pfister, le coach des malvoyants schilikois. Pour leurs homologues de la catégorie B1, le tirage a été à peine plus clément. Opposés aux Franciliens de l’AS Saint-Mandé et de l’AVH Paris, les coéquipiers d’Arona Sow s’attendent à souffrir mais restent optimistes. « Nous aurions aimé un tirage plus facile, mais nous avons réussi à tenir en échec ces deux équipes en championnat, on ne partira pas avec la faveur des pronostics mais la qualification reste jouable, » note Cheikh Diouf, joueur de la formation schilikoise. En l’absence du Sporting Paris, tenant du titre, la compétition B1 est ouverte de l’avis de Julien Zelela, le directeur national du cécifoot à la Fédération française handisport. « Les Girondins de Bordeaux, le Toulouse FC et l’AS Saint-Mandé sont sur le papier favoris mais tous auront leur chance, » confie Julien Zelela, au passage ravi de constater l’essor de la discipline en Alsace. « Le Sporting a débuté l’aventure cécifoot l’année passée, ils se sont pleinement mobilisés pour l’organisation de cette compétition et sont dans une bonne dynamique, c’est une bonne chose pour le développement de la discipline dans la région. » Une discipline à venir découvrir le 15 et 16 avril prochain au stade de l’Aar de Schiltigheim.

Catégorie B1 :
Groupe 1 : Girondins de Bordeaux – Cécifoot Saint-Priest – Toulouse FC – Nantes Don Bosco
Groupe 2 : Association Cécifoot Réunion – Anderlecht – AS Cécifoot Violaines
Groupe 3 : SC Schiltigheim – AS Cécifoot Saint-Mandé – AVH Paris 

Matchs de poule et demi-finales le samedi 15 avril
Les deux premiers du groupe 1 seront qualifiés pour les demi-finales en compagnie des premiers du groupe 2 et 3.
Finale B1 le dimanche 16 avril à 11h

Catégorie B2/B3 :
Groupe 1 : Nantes Don Bosco – AS Villeurbanne Cécifoot – AVH Paris
Groupe 2 : RC Standard de Liège – SC Schiltigheim – AC Boulogne-Billancourt

Matchs de poule et demi-finales le samedi 15 avril
Les deux premiers de chaque groupe seront qualifiés pour la finale
Finale B2/B3 le dimanche 16 avril à 10h

L’US Goxwiller récidive

Mise en place d’octobre à février auprès d’une soixantaine de clubs participants, la deuxième édition du « défi piles » réalisée en partenariat avec l’entreprise Schroll et l’éco-organisme Screlec a été remportée, comme la saison passée, par l’US Goxwiller. Avec plus de 1.7 tonne de piles récoltées, l’USG devance l’AS Diebolsheim/Friesenheim (1.2 tonne) et la FAIG (963 kilos). Découvrir les résultats.

Ça va finir par en devenir une habitude ! Lauréat de la première édition du « défi Schroll », l’US Goxwiller s’est à nouveau emparée cette saison de l’opération rebaptisée pour l’occasion « défi piles », en augmentant au passage le poids de sa récolte (1.74 cette saison contre 1.43 tonne en 2015/2016,). Derrière la fusée de l’USG, de nombreux clubs ont joué le jeu (voir le classement ci-après) permettant à la cuvée 2016/2017 de l’opération de comptabiliser au total plus de 15 tonnes de piles et petites batteries usagées qui pourront être recyclées.

Une belle réussite qui, après les 17 tonnes déjà récoltées la saison précédente, vient appuyer le sens de la démarche Eco-Foot. Vainqueur de cette deuxième édition, l’US Goxwiller repartira donc avec une tresse de maillots et un atelier participatif pour ses licenciés proposé par l’entreprise Dosch, atelier remporté également par l’AS Diebolsheim et la FAIG au titre de leur deuxième et troisième place respective. Alors que l’ensemble des clubs se verront remettre une toile personnalisée pour leur participation à cette édition, un prix coup de cœur récompensera prochainement le club à l’initiative de l’action la plus originale. 

REALISER UNE ACTION ECO-FOOT

Désireux d’accompagner les clubs à développer leur projet éducatif et citoyen, le District d’Alsace de Football facilite leur mise en relation avec les associations naturalistes du territoire dans le but de réaliser des actions de sensibilisation de leurs jeunes licenciés à la protection l’environnement. Une prise en charge à hauteur de 50% des frais d’intervention est assurée par le District. Pour tout renseignement complémentaire, merci de contacter la LAFA au 03.88.27.98.58 ou par mail à ecofoot@lafafoot.fr.

Les résultats

1. US Goxwiller : 1739 kg
2. AS Diebolsheim/Friesenheim : 1215 kg
3. FAIG : 963 kg

4. FC Lauw : 860 kg 
5. AS Hoerdt : 850 kg
6. FC Rosheim : 201 kg
7. ETS Wolfisheim : 745 kg
8. AS Schlierbach : 740 kg
9. CS Wolxheim :  665 kg 
10. AS Hochstatt : 540 kg
11. FC Avolsheim : 460 kg
12. ASCC Marienthal : 457 kg
13. AS Holtzheim : 375 kg 
14. FC Hégenheim : 340 kg
15. FC Rouffach : 340 kg 
16. FCSR Haguenau : 333 kg
17. AS Kilstett ; 324 kg 
18. AS Altkirch : 300 kg 
19. FC Uffheim : 280 kg 
20. ASL Robertsau : 269 kg 
21. FC Munchhouse : 260 kg 
22. FC Ostwald : 259 kg 
23. AS Dingsheim/Griesheim : 235 kg
24. FC Lampertheim : 235 kg
25. SC Ebersheim : 166 kg
26. AS Bruche Hasel : 166 kg
27. AS Durlinsdorf : 140 kg
28. US Artzenheim : 120 kg
29. ASC Biesheim : 112 kg
30. RC Strasbourg Alsace : 111 kg 
31. FC Geispolsheim : 107 kg
32. US Hésingue : 100 kg 
33. AS Mundolsheim : 69 kg 
34. FC Durrenbach : 62 kg
35. AS Strasbourg : 59 kg
36. FC Boofzheim : 56 kg
37. FC Vendenheim : 56 kg 
38. US Bouxwiller : 52 kg 
39. AS Ernolsheim/Bruche : 51 kg
40. AGIIR Florival : 40 kg 
41. FC Soultz 1919 : 40 kg
42. FC Niederhausbergen : 32 kg
43. SC Schiltigheim : 32 kg 
44. ASP Vauban : 27 kg
45. FC Rossfeld: 26 kg 
46. FC Oberhausbergen : 22 kg
47. AS Neudorf : 21 kg
48. FC Krautergersheim : 11 kg
49. FC Phalsbourg : /
50. FC Brunstatt : /
51 : US Sarre-Union : / 
52. US Mulhouse Azzuri : / 
53. FC Kembs Réunis : / 
54 : AS Huningue : / 
55. KOSER : / 
56 : AS Erstein : / 
57 : AS Bischoffsheim : /  

Classement établi sous réserve des procédures en cours. 

 

Article 10, mode d’emploi

Que faut-il faire en cas d’impraticabilité de terrain ? Il est important de rappeler la procédure de l’Article 10 applicable à toutes les rencontres nationales, régionales et départementales. Mode d’emploi…

Pour le football alsacien, la période hivernale démarre officiellement le 15 novembre, pour se terminer le 15 mars. Durant cette période, l’Article 10 s’applique et les clubs ont la possibilité de reporter leurs rencontres sans produire d’arrêté municipal (une procédure qui concerne uniquement l’article 10, c’est-à-dire la déclaration préalable d’impraticabilité du terrain et non les demandes de modifications). Le report étant officiel uniquement après acceptation du District et quand la mention « Reporté » figure sur le site internet du District d’Alsace.

Les dirigeants de clubs peuvent désormais remplir les formulaires directement en ouvrant le fichier souhaité. Il suffit ensuite de l’enregistrer sur l’ordinateur et de le renvoyer au District par e-mail.

Compétitions du District d’Alsace : 
Article 10, mode d’emploi
Formulaire de remise de match des compétitions du District d’Alsace
Pour le Bas-Rhin, selon la catégorie à renvoyer à reportjeunes67@lafafoot.fr ou reportseniors67@lafafoot.fr
Pour le Haut-Rhin, selon la catégorie à renvoyer à reportjeunes68@lafafoot.fr ou reportseniors68@lafafoot.fr

Toutes les demandes de remise de rencontres pour terrain impraticable et/ou en cas d’intempéries soudaines ne pourront être effectuées que par courrier électronique, via les adresses lafafoot.fr des clubs. Toute demande qui ne respectera pas la procédure sera rejetée (n° de match obligatoire). Par contre, pas de changement concernant les championnats nationaux (voir rappel des dispositions).

La feuille de match informatisée

Toutes les informations à connaitre sur la Feuille de Match Informatisée (FMI), afin de se familiariser avec ce nouvel outil.

En cas de doutes ou d’hésitations dans le fonctionnement, la FFF, la Ligue Grand Est et le District d’Alsace de Football proposent différents documents pour les clubs, afin de se familiariser définitivement avec la tablette et l’application de gestion de la FMI :

Guide Utilisateur de la FMI

FMI, les 3 grandes étapes incontournables

FMI, l’essentiel en 2 pages

FMI, comment télécharger l’application sur votre téléphone ?

Footclubs – Création des comptes FMI

Footclubs – Comment ajouter d’autres utilisateurs ?

Footclubs – Comment changer votre mot de passe ?

Voici des documents contenant des informations essentielles pour le dirigeant de club ou pour les officiels et l’arbitre, concernant l’utilisation de la tablette et l’application FMI.

A consulter également, la plateforme d’assistance mise en place par la FFF qui offre la possibilité notamment de visionner des vidéos pédagogiques autour de cette thématique : fmi.fff.fr/assistance.

Les bénévoles de choc de l’AS Hatten

Créé en 1937 par Philippe Drion et Antoine Gramlich, l’AS Hatten soufflera cette année ses 80 bougies. Situé entre Wissembourg et Haguenau, le club du Nord de l’Alsace s’appuie sur l’engagement sans faille d’un comité dévoué à ses membres et récompensé la semaine dernière par le Challenge du Bénévolat « Blanc du Nil ».

Léonard Eisele, président de l’AS Hatten depuis 21 ans, a vu passer un certain nombre de bénévoles depuis son intronisation en 1995. Si tout n’a pas été tout rose pendant toutes ces années à la tête du club, il se réjouit désormais de pouvoir compter sur un comité de choc. « Durant les premières années de ma présidence, j’ai vu un bon nombre de bénévoles claquer la porte du comité. Dans le monde associatif il faut savoir faire face aux égos et aux ambitions de chacun, mais après quelques années de défaillance, une certaine ferveur est née au sein des membres du comité ». En place depuis une quinzaine de saisons, le groupe de bénévoles qui organise et développe la vie du club connait parfaitement son travail. « Tout le monde est à son poste et sait ce que l’autre attend de lui. Les membres actuels se connaissent bien pour la plupart, ils se côtoient depuis plusieurs années. Grâce au travail du comité, chacune de nos manifestations extra-sportives rencontre un franc succès ». La vie associative constitue souvent le noyau fort d’un village et à Hatten on ne déroge pas à cette règle. Cinq fois par an, les habitants du village participent à la démarche environnementale du club, « Nous avons mis en place une collecte de papiers, chaque foyer hattenois conserve son papier usagé. Nous collectons ensuite le tout et nous chargeons de son tri et de son recyclage. » Avec ce geste écologique le club parvient à récolter près de quarante tonnes de papier par an.

Challenge du Bénévolat
Initiative verte, cette action traduit de l’investissement et l’engagement tout au long de l’année des bénévoles de l’AS Hatten récompensés le lundi 30 janvier dernier par le Challenge du Bénévolat « Blanc du Nil ». Pour l’occasion, une tresse de maillots et une dotation pour du matériel leur ont été remises en présence de Francis Willig, vice-président de la Ligue Grand Est, de René Marbach, président du District d’Alsace et de Michel Aucourt, le nouveau secrétaire général du District. « Je peux vous dire que tout le monde a été ravi ! C’est une très belle récompense pour notre club et le travail de ceux qui le font vivre. » Il faut dire que l’AS Hatten fait fort ! Outre la collecte de papier, le club-house du club a récemment accueilli une formation de la LAFA sur la feuille de match informatisée à l’intention des dirigeants des clubs du secteur Nord/Wissembourg. Après l’écologie et la technologie, l’AS Hatten met également en place à de nombreuses occasions des rencontres festives a l’intention des riverains.

Animer le village  
« Pour permettre aux amis du club de se divertir, le comité organise plusieurs fois dans l’année de grandes réceptions, des repas tartes flambées, des moules frites. Le dernier repas en date, un Kesselfleish, a réuni pas moins de 150 couverts pour sa première édition, un franc succès, » se réjouit Léonard Eisele. Une soirée disco années 80 ainsi que deux kermesses en plein air sont également organisées par l’AS Hatten chaque année. 80e anniversaire oblige, la Kermesse du feu de la Saint-Jean 2017 sera fêtée pour l’occasion au mois de juillet 2017, histoire de faire d’une pierre deux coups. « Après avoir bien réfléchi nous avons reporté la Kermesse de la Fête de la Saint-Jean à Juillet pour pouvoir célébrer les 80 ans d’existence du club autour du feu et attirer davantage de personnes à notre anniversaire, indique le président du club avant de conclure, finalement, le bénévolat c’est du travail mais c’est surtout beaucoup d’émotions. »

Article publié le 8 février 2017 à 11:04

Par Nicolas Rodier

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